Jean-Marie Leclair
Concerto pour violon op. X n°4
Concerto pour violon op. X n°5
Édition de Louis Castelain – Collection Orchestre – Édition CMBV
Avec ces deux nouveaux numéros d’opus, le Centre de musique baroque de Versailles clôt l’édition intégrale des 12 Concertos pour violon de Jean-Marie Leclair : une œuvre majeure et virtuose du répertoire pour violon qui mêle au concerto italien l’art du ballet à la française.
Christoph Willibald Gluck
Airs d’opéra français – dessus et grand dessus
Édition de Benoît Dratwicki – Collection Recueil d'airs – Co-édition CMBV et Bärenreiter
Le Centre de musique baroque de Versailles entame une nouvelle série de ses recueils d’airs d’opéra avec Gluck, grande figure du chant lyrique français de la fin du XVIIIe siècle.
Cette anthologie, fruit d’une collaboration entre le Centre de musique baroque de Versailles et Bärenreiter, a pour but de rendre accessible à un large public la plupart des scènes et airs des opéras français de Gluck, sous forme de partitions chant-clavier, agrémentées d’une introduction sur le contexte et les interprètes, d’une mise en situation dramatique des extraits et du texte de chaque air, en français et en anglais. Ce premier volume est destiné aux voix de dessus et de grand dessus (soprano et mezzo-soprano).
Monumentale Marc-Antoine Charpentier
Musiques pour les comédies de Molière
Édition scientifique de Catherine Cessac – Collection Monumentales – Édition CMBV
Le Centre de musique baroque de Versailles publie le 17e volume de l'édition monumentale de l’œuvre de Marc-Antoine Charpentier, qui contient notamment Le Malade imaginaire, dont les différentes versions sont restituées intégralement pour la première fois.
Ce volume de la monumentale Marc-Antoine Charpentier du Centre de musique baroque de Versailles est le premier dédié à la musique profane du compositeur. Il regroupe les collaborations commandées à Charpentier par la troupe de Molière : La Comtesse d’Escarbagnas, Le Mariage Forcé, dont les intermèdes musicaux remplacent ceux de Lully, Le Sicilien, l’ouverture du Dépit amoureux, enfin Le Malade imaginaire, créé au Théâtre du Palais-Royal en 1673, dont les nombreuses reprises ont entraîné une certaine confusion et qui constitue la pièce essentielle du volume.